Avant, son quotidien c'était beaucoup de route pour aller à la rencontre de ses clients, des magasins de grande distribution dans lesquels sont commercialisés des vêtements estampillés Textilot. Aujourd'hui, tout a changé. A 38 ans, Julien Sotty a en effet pris le pari de quitter un emploi salarié pour se mettre à son compte dans le secteur de la restauration rapide. En décembre 2021, il a ouvert son établissement à Nevers (Nièvre), sa ville de coeur, avec le réseau de franchise Pitaya. Non sans avoir rencontré pas mal d'obstacles.

Des banquiers durs à convaincre

« Cela faisait un moment que je songeais à me reconvertir en créant ma propre entreprise. Et en 2019, j'ai décidé de lancer mes propres recherches », raconte Julien Sotty. Désireux de se réorienter mais prudent, ce commercial aguerri a épluché Internet à la recherche d'informations sur les secteurs les plus innovants et les plus susceptibles de rapporter. Il se rend même au salon Franchise Expo pour prendre la température des différents secteurs. « Et c'est finalement la restauration rapide qui l'a emporté », résume-t-il.

Sauf qu'une fois décidé à se reconvertir , Julien Sotty se retrouve confronté à un aléa qu'il n'avait pas vu venir : la crise du Covid-19. « J'ai commencé à démarcher les banques à l'automne 2020. La France démarrait son deuxième confinement et fermait à nouveau ses restaurants. Tous les banquiers m'ont alors dit d'abandonner le projet et de ne pas quitter mon poste salarié », se souvient-il.

Mais il en faut plus pour décourager Julien Sotty. Motivé, il enchaîne les rendez-vous et présente le business model qu'il a préparé minutieusement. Il finit par décrocher le précieux sésame en la jouant fine. « J'ai demandé un financement plus petit chez l'une, puis un autre dans une deuxième banque. Voyant que ces deux premières me suivaient, j'ai réussi à convaincre une troisième de débloquer le gros de la somme », se félicite-t-il.

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La franchise comme filet de sécurité

Julien Sotty s'endette à hauteur de 360.000 euros sur dix ans et qu'on investit 90.000 euros de sa poche. Conscient que l'entrepreneuriat est un risque, il a souhaité s'entourer dès le début de sa reconversion : « J'ai trois enfants, je sais que ce pari était risqué, mais j'ai voulu le structurer le plus possible pour éviter les mauvaises surprises. »

Accompagné par le réseau BGE, il a privilégié la franchise pour entreprendre avec moins de risque dans ce secteur qu'il ne connaissait pas encore. « J'aime cuisiner, mais ce n'est pas mon métier. Je ne voulais me retrouver tributaire de quelqu'un qui avait les compétences nécessaires à la gestion d'un restaurant dans mon propre établissement. Avec son concept clé en main et l'accompagnement du franchiseur, la franchise était la solution idéale », explique Julien Sotty.

Process, logiciels de caisse, gestion des commandes, aménagement du restaurant … Le franchisé Pitaya a bénéficié du soutien de l'enseigne pour démarrer son activité dans de bonnes conditions. Et jouit aujourd'hui de sa renommée nationale via des 150 restaurants.
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