Lorsque je réalise une valorisation dentreprise, je procède au cas par cas, en personnalisant les critères sélectionnés et les hypothèses sous-jacentes à partir des spécificités de la société à évaluer. Je prends en considération les éléments quantitatifs et qualitatifs tels que les états financiers, les comptes prévisionnels, les tendances sectorielles ou encore la position concurrentielle de lentreprise sur son marché de référence.
Il existe des dizaines de méthodes de valorisation mais celles qui sont le plus utilisées sont les approches patrimoniale, actuarielle et des comparables.
Lapproche patrimoniale valorise lentreprise à un moment T sans se soucier des résultats futurs. Elle est généralement retenue pour la valorisation de sociétés immobilières et holdings, dentreprises au rendement faible ou encore en difficulté.
L'approche actuarielle part du postulat que lentreprise vaut ce quelle rapporte. Elle se base sur lactualisation des flux de trésorerie disponible (en anglais free cashflow) futurs de lentreprise. Dans la littérature financière on parlera de Discounted Cash Flow (DCF).
L'approche des comparables visera à valoriser une entreprise par comparaison avec dautres représentant des caractéristiques communes (secteur dactivité, taille, maturité, …).
La valorisation est un exercice rigoureux alliant techniques financières, éléments objectifs et des critères subjectifs qui nécessitent une compréhension intime de lentreprise.
Mais ne nous trompons pas, même sil mest difficile de ladmettre, la valorisation ressemble plus à de lalchimie quà une science exacte et, par conséquent, peut être sujette à de nombreuses discussions et interprétations selon la qualité et la fiabilité des critères et hypothèses mais également selon que vous soyez cédant ou repreneur.
Mon rôle dexpert financier est dutiliser les méthodes les plus appropriées et, si nécessaire, de combiner plusieurs méthodes pour leur complémentarité en les pondérant éventuellement en fonction des circonstances spécifiques.
La valorisation débouchera sur une fourchette de prix et non sur une valeur absolue, immuable et inscrite dans le marbre car en dépit dune valorisation faite dans les règles de lart, le prix finalement payé par lacquéreur dépendra avant tout de la négociation entre les parties et de facteurs tels que la loi de loffre et de la demande, les synergies attendues, la différenciation stratégique et la situation macro-économique.
Il existe des dizaines de méthodes de valorisation mais celles qui sont le plus utilisées sont les approches patrimoniale, actuarielle et des comparables.
Lapproche patrimoniale valorise lentreprise à un moment T sans se soucier des résultats futurs. Elle est généralement retenue pour la valorisation de sociétés immobilières et holdings, dentreprises au rendement faible ou encore en difficulté.
L'approche actuarielle part du postulat que lentreprise vaut ce quelle rapporte. Elle se base sur lactualisation des flux de trésorerie disponible (en anglais free cashflow) futurs de lentreprise. Dans la littérature financière on parlera de Discounted Cash Flow (DCF).
L'approche des comparables visera à valoriser une entreprise par comparaison avec dautres représentant des caractéristiques communes (secteur dactivité, taille, maturité, …).
La valorisation est un exercice rigoureux alliant techniques financières, éléments objectifs et des critères subjectifs qui nécessitent une compréhension intime de lentreprise.
Mais ne nous trompons pas, même sil mest difficile de ladmettre, la valorisation ressemble plus à de lalchimie quà une science exacte et, par conséquent, peut être sujette à de nombreuses discussions et interprétations selon la qualité et la fiabilité des critères et hypothèses mais également selon que vous soyez cédant ou repreneur.
Mon rôle dexpert financier est dutiliser les méthodes les plus appropriées et, si nécessaire, de combiner plusieurs méthodes pour leur complémentarité en les pondérant éventuellement en fonction des circonstances spécifiques.
La valorisation débouchera sur une fourchette de prix et non sur une valeur absolue, immuable et inscrite dans le marbre car en dépit dune valorisation faite dans les règles de lart, le prix finalement payé par lacquéreur dépendra avant tout de la négociation entre les parties et de facteurs tels que la loi de loffre et de la demande, les synergies attendues, la différenciation stratégique et la situation macro-économique.
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