Catherine, 57 ans, a ouvert son institut en 2017. Elle venait dun monde complètement différent et navait aucun lien avec lesthétique. Ariane, la fille de Catherine, est arrivée peu après louverture. Ayant fait des études de commerce, elle sest concentrée sur la partie marketing et la communication et est souvent sur place. Toutes deux ont suivi de nombreuses formations pour comprendre comment les services sont fournis et quels sont les problèmes.
Les deux franchisées nous expliquent quel soutient elles reçoivent dEsthetic Center
« Nous avons pu bénéficier dun accompagnement tout au long du projet. Avant le lancement, le premier accompagnement a été de nous fournir toute la liste de matériel et dameublement quil fallait pour emménager notre institut en plus de ce quil fallait comme produits au départ pour être opérationnel. En outre, nous disposons dune centrale dachat qui nous permet de commander tous les produits dont nous avons besoin.Ensuite, il y a la formation. Au début, il y a une formation pour les esthéticiennes et pour la responsable de létablissement. Celles-ci sont fournies par la franchise. Il y a aussi des visites régulières pour voir si tout se passe bien. Nous ferons également le point au cours du mois pour voir comment nous nous en sortons, où nous en sommes en termes de chiffres et si nous avons besoin daide, didées ou de réponses. Il y a une réelle présence dans le temps. Elle est très forte au début et est entretenue régulièrement. »
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De plus, lenseigne se démarque de la concurrence
« Nous pensons quune franchise est une véritable force. Chez Esthetic Center, nous travaillons avec une carte club. Nous en faisons la promotion en la présentant à nos clients et en leur expliquant quils peuvent bénéficier dun tarif préférentiel. Cette carte peut être utilisée dans tous les Esthetic Centers, que ce soit en France, en Suisse ou en Belgique. Cela permet de convaincre les gens, car même après un déménagement ou en vacances, leur carte est valable dans les autres centres esthétiques disséminés un peu partout. »« Une très bonne expérience »
« Nous sommes vraiment parties de zéro, dabsolument rien. Tout était nouveau, mais nous avons appris facilement, nous nous sommes impliquées. Aujourdhui, nous pouvons dire que nous sommes heureuses dêtre ici. Il a fallu y mettre du travail, se former et être intéressées par le projet. Mais maintenant nous sommes à laise et faisons un métier que nous aimons. Nous pouvons gérer notre temps dune manière différente et plus optimale, et nous sommes ravies davoir osé franchir ce pas et nous lancer dans cette aventure. »
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