« Ce qui ne me plairait pas, c’est d’avoir un métier qui soit très monotone », Romain Diziain (Franchisé TRYBA)

Comment définir le métier de concessionnaire chez TRYBA ?

Cest un métier pluridisciplinaire, il faut avoir un esprit curieux, il faut être très travailleur. Il y a aussi un aspect managérial quand on lance les équipes. Il faut suivre lactivité de votre commercial ou de vos commerciaux, cest-à-dire pas seulement regarder les chiffres mais reprendre certains dossiers, les aider à argumenter et cetera, pour relancer. Cest très varié en fait. Il y a une phase managériale, une phase technique, une phase commerciale et après, il y a une phase de gestionnaire.

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TRYBA est une marque ancrée dans le paysage français. Une chose est certaine : ça fait plusieurs décennies quon est très présent en communication. La notoriété TRYBA, basée sur un important travail de communication et de publicité, est une des armes fortes de lenseigne qui nous amène un volume daffaires.

Quelle est votre journée type ?

Le matin, je suis au dépôt pour lancer les poseurs. Je les accompagne aussi sur pas mal de chantiers pour, outre les plans que je fais, leur montrer sur le terrain ce que jattends. Ensuite, sur la deuxième partie de matinée, je peux faire des métrés techniques ou passer des commandes. Laprès-midi, je le consacre davantage à la partie commerciale. Je suis aussi amené à faire des visites de chantier en cours de réalisation, pour vérifier que tout est conforme à ce que jattends. Ça rassure aussi beaucoup les clients.

Quest-ce qui vous plait le plus dans votre métier ?

Je pense que pour faire ce métier, il faut être curieux. Cest pour ça que je vous ai dit ça en premier : curieux et travailleur. Après, le truc qui est toujours sympa, cest la relation avec les gens, tout simplement. Que ce soit les gens avec qui vous travaillez comme les clients. En fait, ce qui ne me plairait pas, cest davoir un métier qui soit très monotone.