Du tourisme à la technologie : un virage réfléchi
Luc a vendu son agence Uniglobe et s’est mis à la recherche d’un nouveau défi. En visitant Franchise.be, il a découvert Valenta, une franchise internationale qui aide les entreprises à optimiser leurs processus grâce aux assistants digitaux.
« Je ne connaissais rien à l’informatique. Mais je savais : c’est l’avenir »
Lorsque Luc a vu le nom Valenta sur Franchise.be, il a tout de suite été intrigué. Non pas parce qu’il connaissait déjà l’automatisation, au contraire. « Je fais partie d’une génération qui a grandi sans smartphones ni réunions Teams. L’informatique, ce n’était pas ma langue. Mais j’ai tout de suite compris l’essentiel : les entreprises font face à des coûts salariaux élevés et à une surcharge administrative. Valenta offre une solution concrète à ce problème. »
Valenta développe des automatisations intelligentes qui prennent en charge les tâches répétitives. Pensez à des workflows numériques, des robots logiciels et des applications d’IA. Cela permet aux entreprises de gagner en efficacité tout en réduisant leurs coûts. « Cela me fait penser à l’arrivée du téléphone portable ou de l’ordinateur, » explique Luc. « D’abord, tout le monde trouve ça effrayant et flou, puis cinq ans plus tard, c’est devenu indispensable. »
Plus que de la technologie : il s'agit d’écoute et de connexion
Luc se voit surtout comme un conseiller et un facilitateur. Ce n’est pas lui qui construit la technologie, mais celui qui aide les entreprises à formuler leurs besoins. « Vendre, c’est écouter. Poser les bonnes questions. Et ensuite transmettre ce qu’il faut aux bonnes personnes chez Valenta. » Qu’il s’agisse des RH, de la comptabilité, de la logistique ou du service client, chaque département contient des processus qui peuvent être automatisés.
C’est pourquoi ses journées seront principalement consacrées à des premiers entretiens. « Tout commence par un premier contact : expliquer qui nous sommes, ce que nous faisons, et écouter. Ensuite, une analyse approfondie est menée avec les spécialistes de Valenta, et seulement après vient la phase technique. »
Pas de boutique, pas de stock, pas de personnel
Ce qui distingue Valenta des franchises traditionnelles, c’est son modèle entièrement digital et évolutif. « Il n’y a pas de local commercial, pas de stock, et aucun employé à gérer. Tout se fait depuis chez soi. Le contact avec les clients se fait en partie en ligne, mais quand c’est possible, je privilégie encore les rencontres physiques. Cela crée une confiance supplémentaire. »
Selon Luc, cela rend le concept non seulement plus attractif, mais aussi plus efficace. « Pas besoin d’ouvrir un magasin le dimanche ou de planifier du personnel. Cela réduit considérablement les frais fixes. Et si je suis absent – en vacances ou malade – les revenus récurrents continuent de tomber grâce au modèle de service spécifique de Valenta. »
Investir dans le soutien et la croissance
Mais Valenta n’est pas une franchise pour ceux qui veulent se lancer sans préparation. Luc est honnête à ce sujet. « Il y a des frais d’entrée, des contributions mensuelles, et la formation est intensive. Mais en échange, on bénéficie d’une équipe internationale, d’un soutien marketing et d’un savoir-faire technique. Et surtout : on est préparé à un secteur avec un énorme potentiel de croissance. »
Le conseil de Luc aux futurs franchisés
En tant que premier franchisé belge de Valenta, Luc est un pionnier. Mais il ne se sent pas seul pour autant. « Il y a une équipe de support européenne, je reçois de l’aide quand il le faut, et je sais que je suis arrivé au bon moment. » Son enthousiasme est palpable, même s’il vient à peine de commencer. « Cette aventure me donne de l’énergie. Pas seulement parce qu’elle est commercialement intelligente, mais aussi parce que je peux réellement aider les entreprises. Cela me procure une vraie satisfaction. »
Que dit-il à ceux qui envisagent de rejoindre Valenta ?
« N’ayez pas peur si vous n’êtes pas un technicien. Si vous savez écouter, si vous avez le sens commercial et l’envie d’apprendre, alors cette formule a de l’avenir. Et croyez-moi, l’automatisation n’en est qu’à ses débuts. La demande ne fera qu’augmenter. »