Changer de vie pour sa famille

Avant Press Shop, Fabrizio était restaurateur. Il avait ouvert son restaurant à 21 ans, plein d’énergie et d’ambition. Mais avec le temps, la réalité familiale a pris le dessus. « Les horaires de la restauration devenaient incompatibles avec une vie de famille », explique-t-il. « J’avais besoin d’un changement, d’un secteur plus stable. »

C’est par hasard, en consultant une annonce sur Franchise.be, qu’il découvre Press Shop. Ce qui commence comme une simple curiosité se transforme très vite en opportunité sérieuse.

Deux magasins en deux ans

Séduit par son premier magasin à Kortenberg, Fabrizio n’hésite pas à saisir une deuxième opportunité : en juin 2025, il reprend un magasin bien plus grand à Waterloo - plus de 200 m², contre 70–80 m² pour Kortenberg.

Sa journée-type commence très tôt. À 6h30, il est déjà à Waterloo pour gérer la presse, les retours et l’organisation du magasin. Ensuite, il se rend à Kortenberg pour s’assurer que tout se déroule bien. « Ce n’est pas une obligation de passer chaque jour dans les deux magasins. C’est simplement ma façon de travailler », dit-il.

Un concept plus large que la simple librairie

Press Shop n’est pas une librairie classique. Le concept repose sur un assortiment extrêmement varié : magazines, livres, papeterie, cadeaux, confiserie, café, jeux de la Loterie Nationale, tabac, cigarettes électroniques, CBD, cartes cadeaux, Wonderbox… et les incontournables promotions mensuelles.

« L’assortiment est presque infini. Nous sommes tellement diversifiés que nous n’avons pas vraiment de concurrents directs », explique Fabrizio. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il remarque même une hausse des ventes de magazines, alors que la vente de journaux quotidiens diminue.

Une franchise qui soutient vraiment

Si Fabrizio insiste sur un point, c’est bien le soutien du réseau. Deux semaines de formation intensive, un coach dédié, de nombreux numéros d’assistance… Il ne s’est jamais senti seul.

L’aspect administratif, souvent redouté par les indépendants, est également beaucoup plus léger que dans la restauration. « La marchandise est payée par Press Shop. On ne doit presque pas avancer d’argent, à part la garantie bancaire », raconte-t-il. « Et administrativement, c’est le jour et la nuit comparé à quand je gérais mon restaurant. »

Press Shop organise aussi des moments de rencontre entre franchisés. Fabrizio a d’ailleurs remporté plusieurs incentives : un match Belgique–France en VIP, ou encore deux places VIP à Tomorrowland d’une valeur de 900 €. « Ça permet de créer des liens, pas seulement avec les autres franchisés, mais aussi avec les équipes du siège qu’on appelle presque quotidiennement », explique-t-il.

Son message pour les candidats franchisés

Lorsqu’on lui demande quel conseil il donnerait à ceux qui hésitent encore, il ne laisse place à aucun doute :

« Celui qui veut entreprendre peut y aller sans aucune crainte. Mais attention : comme dans tout métier d’entrepreneur, cela demande du travail et de l’implication. Ce n’est pas pour tout le monde, mais ceux qui veulent vraiment réussir y arriveront. »

Une reconversion qu’il ne regrette pas

Aujourd’hui, entre ses deux magasins, sa vie de famille et une meilleure stabilité, Fabrizio est catégorique : rejoindre Press Shop a été l’une des meilleures décisions de sa carrière. « C’est une aventure qui m’a apporté du sens et un meilleur équilibre. Je n’ai jamais regretté ce choix.

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