De salarié à multi-franchisé : un parcours éclair
Lorsqu’on lui demande d’où vient son envie d’entreprendre, Aymeric sourit. « J’ai 25 ans, donc ma carrière n’est pas très longue, » plaisante-t-il. Mais il a déjà réussi ce que beaucoup n’osent pas envisager avant la quarantaine.
Avec son associé Romain, il a repris trois magasins en même temps, un défi que peu auraient osé tenter.
« On gère cinq employés, bientôt six. C’est un bon signe : la société se porte bien, et on est fiers d’avoir créé cette dynamique. » Une gestion millimétrée, un duo complémentaire, et surtout une ambition assumée.
Gamecash : beaucoup plus qu’un magasin de jeux vidéo
Pour Aymeric, Gamecash n’est pas qu’un commerce. C’est un écosystème complet, pensé pour répondre à toutes les facettes de la pop culture : jeux vidéo, produits dérivés, figurines, cartes à collectionner, objets de pop culture, accessoires, et une expertise pointue du marché de seconde main. « Notre mission, c’est de comprendre la passion du client, de connaître son univers, et d’être capables de lui apporter ce qu’il cherche; pas juste un produit, mais une expérience. »
Un modèle exigeant, mais étonnamment accessible
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le profil idéal pour ouvrir un Gamecash n’est pas nécessairement un expert du retail. Aymeric n’a pas un parcours classique en commerce. Pas de formation dans le gaming, il a simplement… essayé. « À 24 ans, je n’avais aucun background particulier. Ce qui m’a permis de réussir, c’est l’envie d’apprendre et la passion. Tout le reste, on l’apprend avec le franchiseur. »
L’enseigne offre un accompagnement complet, un suivi quotidien, et une présence continue du franchiseur. « Les questions que nous posons, il se les est déjà posées. Et il nous apporte directement l’expérience qu’il a accumulée. »
On y trouve aussi :
- Un département marketing disponible
- Un support légal si nécessaire
- Une équipe solide derrière chaque magasin
- Un confort très éloigné de la solitude d’un commerce indépendant.
Présence en magasin : obligatoire ou pas ?
À la différence de certaines franchises, Gamecash permet une gestion déléguée. Mais Aymeric nuance : « On peut engager du personnel, oui. Mais il faut rester connecté à son business. Un propriétaire passionné, c’est indispensable. »
Selon lui, le modèle Gamecash est particulièrement adapté aux franchisés opérationnels, présents sur le terrain, proches de leurs équipes et de leurs clients. Mais pas nécessairement tous les jours.
Un marché en pleine mutation et plein d’opportunités
Quand on parle de concurrence, Aymeric constate que les chaînes spécialisées sont beaucoup moins nombreuses qu’avant. Les concurrents directs sont surtout les indépendants, les marketplaces ou les géants généralistes comme Mediamarkt. Mais Gamecash garde une longueur d’avance : « Notre force, c’est la spécialisation. Notre clientèle cherche l’expertise, pas juste un rayon jeux vidéo. »
Un franchisé ambitieux, prêt à doubler son réseau
Ce qui surprend le plus chez Aymeric, c’est son ambition assumée. Non seulement il gère déjà trois magasins, mais il prépare deux ouvertures supplémentaires dans les années à venir.
« On veut continuer à croître. Les résultats sont bons, les clients sont là, la demande est là. Donc pourquoi s’arrêter ? »
Son message aux candidats franchisés : oser, tout simplement
Lorsqu’on lui demande ce qu’il dirait à quelqu’un qui hésite encore à ouvrir un Gamecash, sa réponse est directe, sans détour : “On ne regrette que ce qu’on n’a pas fait. Il faut y aller. Si ça ne fonctionne pas, vous aurez appris. Mais il n’y a aucune raison que ça ne fonctionne pas.”
Une nouvelle génération de franchisés
Avec trois magasins, un associé solide et des projets d’expansion, Aymeric représente une nouvelle génération de franchisés : jeune, audacieux, passionné, et parfaitement en phase avec l’esprit Gamecash.
Un modèle inspirant pour ceux qui rêvent de transformer leur passion en carrière. Et la preuve qu’avec la bonne franchise, le bon soutien et la bonne motivation, même les plus ambitieux projets deviennent possibles.
